La première phrase que je prête à Ottaviani est tirée d'un texte de
Marsile de Padoue, une de ses marottes. Enfin, ici, c'est plus que
paraphrasé, mais j'espère avoir gardé le sens.
Holala, elle est bien datée, cette chanson. C'est ça qui se passe
quand je cherche à faire coller la chanson à ma bande.
Allez, pour finir, une entrevue avec Jean-Philippe Fauteux.
Même si je suis pas tendre avec lui ici, il est quand même à voir :
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